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L'Organisation mondiale de la santé (OMS): C'est un bain de sang, un carnage
Le 27 dcembre 2023 Dans le même ordre d'idées, ce communiqué de l'OMS : L'Organisation mondiale de la santé (OMS): C'est un bain de sang, un carnage Les frappes incessantes de l'armée israélienne sur l'enclave palestinienne assiégée se poursuivent, mercredi 27 décembre, en dépit des appels à un cessez-le-feu pour acheminer une aide humanitaire cruciale à la population..."...voir plus...
L'Organisation mondiale de la santé (OMS): C'est un bain de sang, un carnage Le 27 dcembre 2023 Dans le même ordre d'idées, ce communiqué de l'OMS : L'Organisation mondiale de la santé (OMS): C'est un bain de sang, un carnage Les frappes incessantes de l'armée israélienne sur l'enclave palestinienne assiégée se poursuivent, mercredi 27 décembre, en dépit des appels à un cessez-le-feu pour acheminer une aide humanitaire cruciale à la population gazaouie. Des témoins ont fait état de frappes israéliennes et de combats au sol à Khan Younès, dans le sud de la bande de Gaza, et de bombardements sur les camps de réfugiés de Maghazi et d'Al-Boureij, dans le centre. Dans le nord du territoire palestinien, de violents affrontements ont également eu lieu à l'aube dans le quartier de Cheikh Radwan de la ville de Gaza, et dans la ville de Jabaliya. Le ministère de la santé à Gaza a annoncé que les opérations militaires israéliennes dans l'enclave avaient fait au moins 21 110 morts depuis le début de la guerre, le 7 octobre, dont 195 personnes tuées ces dernières vingt-quatre heures. Il a également fait état de 55 243 blessés. En début de semaine, le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou avait annoncé une « intensification » des frappes d'Israël sur la bande de Gaza, tandis que le chef de l'état-major israélien Herzi Halevi a répété que le conflit « durera encore de nombreux mois ». Cinq jours après l'adoption de la résolution de l'Organisation des Nations unies (ONU) exigeant l'acheminement « à grande échelle » de l'aide humanitaire dans l'enclave, où près de deux millions de personnes ont été déplacées – 85 % de la population –, les Nations unies ont annoncé mardi soir la nomination de la néerlandaise Sigrid Kaag au poste de coordinatrice de l'aide humanitaire et de la reconstruction à Gaza. Mais malgré la résolution, aucune avancée significative n'a été réalisée ces derniers jours en matière d'aide humanitaire, et les négociations autour d'une trêve semblent être au point mort. Selon l'agence Reuters, le coordinateur de l'équipe d'urgence de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Sean Casey, a dénoncé mercredi un « bain de sang » dans l'enclave, soulignant que seules 20 % des infrastructures médicales sont encore en état de fonctionner. « Les hôpitaux ne reçoivent que des blessés souffrant de graves traumatismes, à une échelle assez difficile à imaginer. C'est un bain de sang, un carnage », a-t-il alerté. Mercredi 27 décembre, les télécommunications Internet et téléphoniques étaient toujours en cours de rétablissement après une nouvelle coupure la veille, selon l'opérateur palestinien Paltel, la quatrième depuis le début de la guerre. Le Croissant-Rouge palestinien a déclaré mardi avoir totalement perdu le contact avec ses équipes sur le terrain en raison de cette coupure, tandis que son réseau radio a été endommagé par un barrage d'artillerie israélien qui a touché son quartier général à Khan Younès. En réaction à l'intensification des bombardements d'Israël sur la bande de Gaza ces derniers jours, Mahmoud Abbas, le président de l'Autorité palestinienne a fustigé mardi soir au micro de la chaîne de télévision égyptienne ON, « le plan de Nétanyahou [qui] est de se débarrasser des Palestiniens et de l'Autorité palestinienne ». « Ce qui se passe sur le sol palestinien ces jours-ci va au-delà d'une catastrophe et d'un génocide », a-t-il déclaré. « Notre peuple n'a pas connu une telle guerre, même lors de la Nakba », a-t-il ajouté, en référence à la « catastrophe » que les Palestiniens associent à la création de l'Etat d'Israël en 1948, après laquelle 760 000 d'entre eux ont été contraints à l'exode pendant la première guerre israélo-arabe. De son côté, l'émir du Qatar Tamim Ben Hamad Al Thani, dont le pays avait mené une médiation ayant permis une trêve à la fin de novembre, s'est entretenu dans la nuit avec le président américain Joe Biden. Les deux dirigeants ont discuté des efforts nécessaires pour « arriver à un cessez-le-feu permanent », a affirmé la diplomatie qatarie. A la fin de novembre, une trêve d'une semaine avait permis la libération de 105 otages contre 240 prisonniers palestiniens, et l'entrée à Gaza d'un important volume d'aide. Mais les efforts des médiateurs n'ont jusque-là pas permis de parvenir à une nouvelle pause humanitaire ... voir moins...
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La terre ceinte !
Le 11 dcembre 2023 La terre ceinte ! Si un martien débarquait aujourd'hui au Levant, il ne comprendrait pas pourquoi on nomme encore la Palestine « la terre sainte ». Car si hélas pour elle et le monde, elle fait la une des journaux depuis deux mois, ce n'est pas parce qu'elle est ceinte par une radieuse auréole mais plutôt entourée par des flammes, des destructions épouvantables, des morts..."...voir plus...
La terre ceinte ! Le 11 dcembre 2023 La terre ceinte ! Si un martien débarquait aujourd'hui au Levant, il ne comprendrait pas pourquoi on nomme encore la Palestine « la terre sainte ». Car si hélas pour elle et le monde, elle fait la une des journaux depuis deux mois, ce n'est pas parce qu'elle est ceinte par une radieuse auréole mais plutôt entourée par des flammes, des destructions épouvantables, des morts par milliers. Et quand on apprend le chiffre effrayant des enfants tués, les larmes de désespoir et de rage embuent nos yeux. Toutefois certains de mes proches continuent à la nommer la « Terre sainte ». Malgré mon attachement au christianisme, je ne parviens pas à les suivre sur ce terrain car la Palestine et Israël appartiennent tous les deux à un concept fort différent de la sainteté : alors qu'on s'y écharpe depuis un demi-siècle, que des millions de personnes souffrent dans leur chair, leurs familles, leurs egos, leurs biens, leur avenir, comment cette terre peut-elle encore être qualifiée de sainte ? Non, vraiment pour les gens de ma génération, la Terre sainte ne l'est plus en dépit de l'existence de ces citées sacrées de Jérusalem, Bethléem ou Nazareth. Et si nous ajoutons la situation au Liban dont le Christ a arpenté la partie méridionale et en Syrie qui fut aussi un lieu béni par la conversion de l'apôtre Paul, on est en droit de douter de la sainteté actuelle de l'endroit. Pour moi, ce Levant si attachant serait plutôt une terre ceinte, c'est-à-dire cernée de près par des adversaires farouches responsables de ce qui s'y déroule sous les yeux veules et indignes de la communauté internationale. Mais surtout ces ennemis de « la sainteté » telle que je la conçois sévissent à l'intérieur. Les dirigeants de l'Etat d'Israel qui règnent sur la région sont-ils devenus fous au point de saborder ainsi l'image sacralisée qu'on voudrait retenir de celle-ci ? Se rendent-ils bien compte qu'ils démolissent à coups de bombes, de missiles, de canons toute une tradition enchantée, celle d'une contrée où le prince de la paix est né et a témoigné. Ces lieux anciennement saints sont cernés par une armée prompte à tirer et tuer, par une police toujours ardente à emprisonner et à malmener ses captifs, par une administration éternellement à la recherche de moyens pour humilier et harceler une catégorie de ses citoyens… La paix, la concorde, la cohabitation harmonieuse ont-elles régné dans ce terroir auparavant plutôt épargné par la haine et les affrontements depuis qu'en 1948 a été créé l'Etat d'Israel ? Jamais, pas une seconde ! Que ce soit le fait des uns ou des autres, la terre dite sainte n'a jamais été depuis cette date un exemple d'harmonie pour la région et le reste du monde. Elle est même devenue un point de crispation et d'horreur devant les massacres, les carnages qui s'y accumulent. Noël est proche. Il est cependant peu probable que par un coup de baguette magique, cette terre ceinte redevienne soudainement sainte… DD ... voir moins...
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De la diversité dans nos grandes écoles militaires.
Le 06 dcembre 2023 De la diversité dans nos grandes écoles militaires. Ancien officier parachutiste et diplomate, l'ambassadeur Didier Destremau a écrit une dizaine d'ouvrages sur divers sujets essentiellement géographiques et politiques. Saint-Cyrien, il attire l'attention sur le fait que l'armée doit demeurer l'image de la Nation et qu'elle doit donc accueillir toutes ses composantes..."...voir plus...
De la diversité dans nos grandes écoles militaires. Le 06 dcembre 2023 De la diversité dans nos grandes écoles militaires. Ancien officier parachutiste et diplomate, l'ambassadeur Didier Destremau a écrit une dizaine d'ouvrages sur divers sujets essentiellement géographiques et politiques. Saint-Cyrien, il attire l'attention sur le fait que l'armée doit demeurer l'image de la Nation et qu'elle doit donc accueillir toutes ses composantes dans ses rangs y compris dans ses grandes écoles. J'ai conscience que cette libre opinion va attirer moult commentaires qui seront en majorité des critiques acerbes, mais je crois qu'il est de mon devoir de la livrer aux lecteurs de l'ASAF. Il s'agit du recrutement dans les grandes écoles militaires. Il va sans dire que celles-ci ne sont pas responsables de l'origine des élèves qu'elles reçoivent et qu'en conséquence, elles ne sont qu'indirectement concernées par ce billet. « Je suis persuadé que l'armée doit, d'une manière ou d'une autre, refléter fidèlement la composition de la Nation » Depuis plusieurs années, je constate dans la liste des admis dans ces écoles l'absence ou la rareté de noms fleurant l'exotisme ou pour être plus cru, de noms et de prénoms portés par des jeunes gens issus des récentes minorités. Cela m'inquiète car je suis persuadé que l'armée et donc les plus prestigieuses écoles d'officiers doivent, d'une manière ou d'une autre, refléter fidèlement la composition de la Nation et suivre, voire précéder son évolution. Il est largement dépassé le temps où seuls les aristocrates pouvaient devenir officiers. Napoléon, notre maître a universellement prouvé que les manants pouvaient faire d'excellents stratèges et que, pour entraîner la charge de la cavalerie, des fils de boutiquiers se révélaient sublimes. L'armée belge, durant la Première Guerre mondiale a aussi souffert de la distorsion entre la troupe et ceux qui la commandaient. Il nous faut donc admettre que les armées nationales doivent être une photographie la plus exacte possible de la population de laquelle elles sont issues et qu'elles sont amenées à défendre. On me rétorquera, bien sûr, que les écoles militaires recrutent par concours et qu'on n'interdit à personne de les préparer et d'y réussir. Certes, mais on ne doit pas se cacher derrière son petit doigt, se convaincre avec une bonne foi truquée que rien d'illégitime ne justifie cette évidence. De qui s'agit-il ? Probablement d'un peu plus de cinq millions de Français dont de larges franges buttent sur l'éducation supérieure parce qu'elles n'ont qu'une connaissance partielle de l'information sur les carrières possibles ou pire, qu'elles estiment qu'elles seront ostracisées si elles tentent d'y accéder. Notre histoire nous prouve que dans le passé, des Italiens, des Espagnols, des Portugais ont éprouvé, eux aussi des difficultés à parfaire leur intégration. Mais certainement moins que les immigrés originaires d'Afrique. Le constat est connu, comme à Sciences Po Paris qui a bien franchi le pas en allant sélectionner dans les lycées de banlieue les meilleurs élèves, ce qui a créé une émulation profitable dans ces classes et ces établissements scolaires. J'ai vécu aux États-Unis lorsque s'est mise en place ce qu'on a nommé l'« affirmative action » consistant, comme tout le monde le sait, à offrir plus de facilités à l'accès aux universités aux Hispaniques et aux Afro-américains jusqu'alors en retard dans ce domaine. Injuste sur le strict plan de l'égalité, cette mesure qui fut tant décriée a permis pendant des décennies à des jeunes d'accéder à des positions et des grades dans lesquels ils purent servir leur pays et prouver que l'obtention récente d'une nationalité produisait quand même de bons citoyens. « Je suis persuadé que c'est une erreur de continuer à ignorer cette question » Je ne pense pas qu'en France, une mesure comme cette dérogation au seul mérite puisse être décidée et appliquée immédiatement. Mais il faut, avant d'en venir à cette extrémité, admettre que le problème existe et qu'il est nécessaire de l'aborder franchement. Comment ? Les états-majors sauront trouver des solutions, sans aucun doute. Pour moi, la première décision à prendre est indubitablement d'exercer un effort sur l'information. Coëtquidan, Navale et Salon pourraient multiplier les « portes ouvertes » ou tout autre dispositif permettant de montrer les réalités de la vie des élèves. On devrait lancer dans les établissements d'éducation prioritaire et dans les clubs et institutions que fréquentent ces jeunes une campagne de sensibilisation sur les métiers militaires autres que ceux d'homme du rang voire de sous-officier. Affirmer que l'Armée a besoin d'eux comme elle a besoin d'autres catégories sociales, d'officiers venant de la Réunion, de Guadeloupe ou de Guyane. Marteler que porter un prénom musulman n'est pas une tare et que dans cette « filière », on peut être aussi heureux et bien dans sa peau que dans une école de commerce par exemple ! Et qu'on peut parvenir au sommet tout comme les autres… Et enfin, peut-être accroître dans nos armées la connaissance en profondeur d'autres civilisations voire le nombre de linguistes. Quand une fois, j'ai évoqué ce sujet avec des amis marins, certains avec une gêne mal déguisée, m'ont affirmé que des officiers mariniers musulmans avaient éprouvé des états d'âme lorsque nos bâtiments avaient été engagés contre l'État islamique. C'est probablement vrai, mais les opérations en cours, Chammal, Barkhane et autres n'ont-elles aucun musulman dans leurs rangs ? Je n'en sais rien, à vrai dire, mais cela m'étonnerait qu'on sélectionne ainsi nos soldats… En tout état de cause, je ne vois pas notre institution militaire faire barrage à ces candidats pour un motif de confession religieuse… En bref, je suis persuadé que c'est une erreur de continuer à ignorer cette question et qu'il convient de la prendre courageusement à bras le corps et d'essayer les meilleurs remèdes pour y faire face. DD ... voir moins...
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Les bienfaits thérapeutiques de l'écriture
Le 02 dcembre 2023 Quels sont les bienfaits thérapeutiques de l'écriture ? L'écriture thérapeutique est une approche qui utilise l'acte d'écrire comme un moyen de favoriser le bien-être émotionnel et mental. Plusieurs études suggèrent que la pratique régulière de l'écriture peut avoir des bienfaits thérapeutiques significatifs, notamment pour soulager le stress et l'anxiété. Je vous liste..."...voir plus...
Les bienfaits thérapeutiques de l'écriture Le 02 dcembre 2023 Quels sont les bienfaits thérapeutiques de l'écriture ? L'écriture thérapeutique est une approche qui utilise l'acte d'écrire comme un moyen de favoriser le bien-être émotionnel et mental. Plusieurs études suggèrent que la pratique régulière de l'écriture peut avoir des bienfaits thérapeutiques significatifs, notamment pour soulager le stress et l'anxiété. Je vous liste dans cet article quelques façons dont l'écriture peut contribuer à soulager vos maux. Les bienfaits de l'écriture Expression émotionnelle : L'écriture offre un moyen de s'exprimer librement et en toute confidentialité. Mettre ses pensées et émotions sur le papier peut aider à libérer des sentiments refoulés, réduisant ainsi la charge émotionnelle. Clarification des pensées : En écrivant, on est souvent amené à organiser ses pensées de manière plus claire. Cette clarification mentale peut aider à comprendre les sources de stress et d'anxiété, ainsi qu'à trouver des solutions ou des perspectives alternatives. Réduction du ruminement : Écrire peut être un moyen de mettre un terme au ruminement mental, où des pensées négatives tournent en boucle dans l'esprit. Mettre ces pensées sur papier peut aider à les libérer et à éviter qu'elles n'envahissent constamment l'esprit. Auto-réflexion : L'écriture encourage l'auto-réflexion, permettant de mieux comprendre ses propres réactions face au stress et à l'anxiété. Cette prise de conscience peut être le premier pas vers des changements positifs. Gestion du stress : Écrire régulièrement peut aider à gérer le stress en créant une routine apaisante. Cela peut également être une occasion de se détendre et de se déconnecter des préoccupations quotidiennes. Renforcement de la résilience : La tenue d'un journal peut être un outil pour documenter les moments difficiles et les façons dont on les surmonte. Relire ces expériences peut renforcer la résilience en montrant qu'on a déjà fait face à des défis avec succès. Amélioration de la perspective : Écrire peut offrir une perspective extérieure sur les problèmes. En examinant ses pensées de manière objective, on peut souvent voir les situations sous un angle différent, réduisant ainsi l'anxiété associée. Création d'un sentiment de contrôle : Prendre le temps d'écrire peut donner l'impression d'avoir un certain contrôle sur ses pensées et ses émotions, ce qui peut être particulièrement bénéfique en période de stress. L'écriture thérapeutique peut prendre différentes formes, que ce soit la tenue d'un journal, l'écriture de lettres non envoyées, la rédaction de poèmes ou tout autre moyen qui permet à une personne de s'exprimer. Écrire en guise de thérapie ? Écrire en tant que thérapie, souvent appelé “écriture thérapeutique” ou “journaling thérapeutique”, est une pratique où l'acte d'écrire est utilisé de manière délibérée comme un outil pour explorer ses émotions, pensées et expériences personnelles. Voici quelques approches que vous pourriez envisager pour utiliser l'écriture comme un moyen de thérapie personnelle : Journaling quotidien : Prenez l'habitude d'écrire tous les jours dans un journal. Cela peut être une opportunité pour décharger vos pensées et émotions, ainsi que pour documenter les événements significatifs de votre vie. Lettres non envoyées : Écrivez des lettres à des personnes de votre vie, passées ou présentes, même si vous n'avez pas l'intention de les envoyer. Cette approche peut vous aider à exprimer des émotions non dites et à clarifier vos sentiments. Exploration de soi : Utilisez l'écriture pour explorer qui vous êtes, vos valeurs, vos aspirations, et même vos peurs. Posez-vous des questions et explorez les réponses de manière honnête. Gratitude journal : Écrivez quotidiennement sur les aspects de votre vie pour lesquels vous êtes reconnaissant. Cela peut aider à se concentrer sur les aspects positifs et à cultiver un état d'esprit plus positif. Journalisation des objectifs : Tenez un journal de vos objectifs personnels et professionnels. Écrire sur vos progrès et les obstacles rencontrés peut vous aider à rester concentré et motivé. Écriture créative : Exprimez-vous à travers des formes d'écriture créative, telles que la poésie, la fiction, ou même la création de courtes histoires. Cela peut être un moyen de libérer votre créativité et de transformer vos expériences en quelque chose de plus artistique. Mindfulness writing : Pratiquez l'écriture en pleine conscience en vous concentrant intentionnellement sur le moment présent. Décrivez vos expériences sensorielles, émotionnelles et cognitives avec une pleine attention. Suivi des émotions : Tenez un journal détaillé de vos émotions. Identifiez et explorez ce que vous ressentez dans différentes situations et examinez les schémas émotionnels. L'écriture thérapeutique peut être une expérience personnelle et intime, donc il n'y a pas de règles strictes. Chacun reste maître de ses écrits. L'objectif principal est de vous donner un espace pour vous exprimer librement et pour mieux vous comprendre. Si vous trouvez que vos écrits suscitent des émotions intenses ou difficiles, il peut être utile de partager ces sentiments avec un professionnel de la santé. En effet, gardez bien à l'esprit que, même si l'écriture est un outil précieux en matière de bienfaits thérapeutiques, elle ne remplace pas nécessairement un traitement professionnel. ... voir moins...
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Auteure, autrice !
Le 24 novembre 2023 Auteur, autrice ! Je ne parviens pas à digérer cette nouvelle qualification d'une femme qui écrit. Il parait qu'elle serait ancienne et que le machisme des derniers siècles l'avait effacé au profit J'en suis même plutôt exaspéré tout autant d'ailleurs que de l'écriture inclusive qui consiste à ajouter un « e » à chaque mot masculin pour bien indiquer qu'on parle de tous les..."...voir plus...
Auteure, autrice ! Le 24 novembre 2023 Auteur, autrice ! Je ne parviens pas à digérer cette nouvelle qualification d'une femme qui écrit. Il parait qu'elle serait ancienne et que le machisme des derniers siècles l'avait effacé au profit J'en suis même plutôt exaspéré tout autant d'ailleurs que de l'écriture inclusive qui consiste à ajouter un « e » à chaque mot masculin pour bien indiquer qu'on parle de tous les humains et pas seulement des masculins. En bref, cette féminisation des noms de métiers est un des sujets de langue française qui me donne de l'urticaire. Certes, on dit bien depuis fort longtemps une actrice, une créatrice, une réalisatrice mais pas une vendrice (pour une femme vendeuse) ou une ébourice (pour un éboueur féminin) ou une cambriolice (pour un galopeur)...et pourquoi pas doctrice à la place de doctoresse ? En tout état de cause, cette féminisation des noms de métier sème le doute dans mon esprit comme, je le suppose dans de nombreux autres. Est-elle liée à ce féminisme galopant que prône la mode et le vent de l'histoire ? Je pense que c'est possible mais ne suis pas certain que les femmes s'y retrouvent quand on les qualifie de ces dénominations sortis du chapeau d'un hurluberlu assoiffé d'originalité. Il existe dans notre langue des milliers de noms qui se terminent en « eur ». Faudra-t-il une loi pour tous les féminiser en « ice » ? Faudra-t-il appeler la police en renfort pour faire appliquer cette règle ? J'espère qu'on saura raison garder et que l'Académie française connue pour sa prudence et les délais par lesquelles elle légifère saura tempérer cette tendance iconoclaste DD ... voir moins...
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